Se Souvenir que nous Sommes Tous de l’Eau et de la Mémoire de l’eau
« Une molécule d’eau contient deux atomes d’hydrogène (H) et un atome d’oxygène (O), qui sont reliés par des liaisons covalentes. L’eau a des propriétés inhabituelles car elle peut se présenter à l’état liquide, solide (glace) ou gazeux (vapeur). L’eau est essentielle à toute vie sur Terre. Nous la buvons, nous nous baignons et nous nageons dans l’eau. Nous utilisons l’eau pour le nettoyage et pour nos jardins, ainsi que pour l’agriculture et l’industrie.
Soixante-dix pour cent de la surface de la Terre est recouverte d’eau. Le pourcentage d’eau sur Terre est similaire au pourcentage d’eau dans le corps humain : 55% à 78%. Les scientifiques cherchent à percer les secrets de cet élément étonnant. Il ne peut y avoir de vie, telle que nous la connaissons, sans eau. L’eau n’a pas été découverte sous forme liquide sur d’autres planètes, bien qu’il y ait des traces sous forme gelée sur certaines planètes. Aucune substance au monde n’a autant de rendement que l’eau, et pourtant, lorsqu’elle coule en torrents et qu’elle gèle et dégèle, elle érode les rochers, les montagnes, les paysages, etc.
Environ 96,5 % de l’eau de la Terre se trouve sous forme d’eau salée dans les océans ; 1,7 % est de l’eau souterraine ; 1,7 % est de l’eau contenue dans les glaciers et les calottes glaciaires de l’Antarctique et du Groenland ; une petite fraction se trouve ailleurs ; et 0,001 % se trouve dans l’atmosphère sous forme de vapeur, de nuages et de précipitations.
Répartition de l’eau sur Terre (d’après l’USGS). Environ 70 % de l’eau douce utilisée par l’homme est destinée à l’agriculture. L’eau se déplace continuellement à travers le cycle hydrologique de l’évaporation, de la condensation, des précipitations et du ruissellement, pour atteindre les cours d’eau et la mer.
Mémoire de l’eau et conscience de l’eau
La mémoire de l’eau est, selon certaines théories, la capacité de l’eau à conserver la « mémoire » de substances précédemment dissoutes dans l’eau, même lorsque le facteur de dilution est très élevé, au point qu’il ne reste plus aucune molécule de la substance dans la solution.
La recherche et la controverse autour de ce concept sont intéressantes. Samuel Hahnemann, médecin allemand à l’origine de l’homéopathie, avait l’idée qu’une substance qui provoque les symptômes d’une maladie chez les personnes en bonne santé guérit cette maladie chez les personnes malades (Hahnemann, 1833). La plupart des données scientifiques de la médecine moderne ne confirment pas cette affirmation, et les sceptiques critiquent vivement chaque fois que quelqu’un apporte des preuves à l’appui de l’homéopathie. L’immunologiste français bien connu Jacques Benveniste a cherché à prouver que l’homéopathie fonctionne. Dans une étude réalisée en 1988, il a mené une expérience et cosigné un article avec d’autres chercheurs de laboratoires du Canada, d’Italie, d’Israël et de France (Davenas et al., 1988). Benveniste a conclu dans cet article, publié dans la revue Nature, que la configuration des molécules dans l’eau était biologiquement active, et un journaliste a inventé le terme de « mémoire de l’eau » pour désigner l’hypothèse selon laquelle l’eau peut conserver la mémoire.
Après la publication de l’article, une enquête de suivi a été mise en place par une équipe de sceptiques, dont le physicien et rédacteur en chef de Nature John Maddox. L’équipe n’a pas été en mesure de reproduire les résultats de Benveniste et l’étude a été rejetée parce qu’elle n’était pas reproductible. Plus récemment, le virologue français Luc Montagnier, lauréat du prix Nobel pour avoir codécouvert le lien entre le VIH et le sida, a présenté une méthode quasi homéopathique en 2009. Il a également suggéré que l’eau pouvait conserver des propriétés électrochimiques même lorsque la solution est massivement diluée. Les affirmations de Montagnier, professeur à l’Université Jiaotong de Shangai en Chine, ont à nouveau choqué la communauté scientifique et ont été accueillies avec beaucoup d’incrédulité.
Il reste à voir si des pionniers comme Benveniste et Montagnier auront raison ou tort. Que la recherche sur l’eau soit scientifique ou pseudoscientifique, l’eau continue néanmoins de fasciner de nombreuses personnes. Par exemple, les travaux de l’auteur japonais Masaru Emoto, qui soutient que la conscience humaine a un effet sur la structure moléculaire de l’eau, sont devenus célèbres grâce à ses magnifiques photos de cristaux d’eau. Au départ, Emoto affirmait qu’une eau de haute qualité formait de beaux cristaux complexes, tandis qu’une eau de basse qualité avait du mal à former des cristaux.
Selon Emoto, un cristal de glace d’eau distillée présente une structure hexagonale de base sans ramification complexe. Emoto affirme que des changements positifs peuvent être apportés aux cristaux d’eau par la prière, la musique ou en attachant des mots écrits de gratitude, d’appréciation et d’amour à un récipient d’eau. Les critiques ont fait remarquer que les recherches d’Emoto n’étaient pas suffisamment contrôlées et que la conception de ses expériences aurait pu être influencée par des erreurs humaines. Emoto a reconnu qu’il n’était pas un scientifique et que les photographes avaient reçu pour instruction de sélectionner les photos les plus agréables pour les expériences.
Le monde dans une goutte
Le professeur Bernd Kröplin, de l’Institut aérospatial de Stuttgart, en Allemagne, a découvert un moyen simple de rendre la structure de l’eau visible : Appliquer des gouttes d’eau sur des lames et les observer au microscope à fond noir. Il a montré que si les gouttes individuelles fabriquées par différents étudiants étaient différentes les unes des autres, les gouttes fabriquées par le même étudiant montraient à plusieurs reprises une image similaire dans la goutte d’eau séchée.
Kröplin a montré que l’image d’une fleur et l’image d’une salade restaient dans l’eau, après qu’une fleur ou une salade ait été immergée dans l’eau. Il a apparemment poussé plus loin la science de la mémoire de l’eau, mais ce type de travail est toujours considéré comme de la pseudoscience par les scientifiques traditionnels.
Le professeur Konstantin Korotkov, un scientifique russe, est également impliqué dans la recherche innovante sur l’eau. Korotkov a développé une nouvelle approche pour la détection à distance des émotions individuelles et humaines (Korotkov et al., 2008) en ajoutant un nouveau dispositif d’antenne au système de caméra de visualisation par décharge de gaz à image électrophotonique (GVD).
Le 3 août 2008, Emoto a organisé une cérémonie pour bénir l’eau du lac Baïkal en Russie, le lac d’eau douce le plus profond et le plus ancien du monde. Des capteurs GVD ont été utilisés pour mesurer les changements survenus au cours de la cérémonie. Les données ont montré des différences marquées à différents stades de la cérémonie.
(Extrait du rapport Baikal Water Ceremony, Konstantin Korotkov, 2008) :
Des tests ont été effectués lors d’une expérience menée en 2008 en Russie, au cours de laquelle de l’eau ordinaire a été exposée au son » NASA du soleil », puis cryogénisée, photographiée et examinée au microscope à champ sombre. L’auteur David Sereda et Saida Medvedeva, qui ont produit le film « Water – The Great Mystery », ont photographié un cristal de glace qui avait été exposé au son d’une éruption solaire.
En outre, Sereda et Medvedeva ont testé l’effet du son du soleil sur des sujets reliés à une caméra GDV, qui peut surveiller l’énergie rayonnant du bout des doigts d’une personne. Lorsqu’un sujet entendait le son du soleil pendant une minute, on observait une augmentation des schémas d’énergie qui indiquaient une augmentation de l’énergie rayonnant à partir du cœur de cette personne. En d’autres termes, le soleil activait le champ cardiaque humain.
Les éruptions solaires semblent être liées à des pics émotionnels négatifs et positifs chez l’homme. Les explosions de créativité et les progrès scientifiques et sociétaux ont été liés à l’afflux d’énergie accru des éruptions solaires. Tout comme le soleil peut changer l’eau, il est possible que l’énergie accrue des éruptions solaires aide les gens à se débarrasser du passé et à vivre des changements positifs. Le soleil a été très actif en juillet et début août 2012 et a produit de nombreuses éruptions de classe M (moyenne) et de classe X (grande). La plus forte éruption solaire émise par le soleil, une grande éruption de classe X1,4, a provoqué une vive aurore boréale dans les latitudes les plus septentrionales. On prévoit que les éruptions solaires continueront à augmenter en intensité et en apparence, avec un maximum d’environ 60 taches solaires en 2013, ce qui correspond à la période où un maximum solaire est actuellement prévu.
Au cours de l’afflux d’énergie solaire qui se poursuivra, il se peut que l’on ressente une fatigue inhabituelle ou que l’on éprouve des émotions telles que la colère, l’irritation ou la dépression. Rappelez-vous que pendant les périodes difficiles, l’énergie solaire peut vous aider à évacuer de vieilles énergies de votre système. En restant calme et centré, vous pouvez utiliser toute énergie entrante à votre avantage ».
Aujourd’hui, nous disposons d’une quantité considérable de recherches scientifiques qui soutiennent la théorie de la mémoire de l’eau. Cependant, nous cherchons toujours à savoir COMMENT l’eau possède cette capacité phénoménale.
« Les messages de Masaru Emoto à l’eau ont incité de nombreux scientifiques à étudier sérieusement l’impact des énergies subtiles sur l’eau. Il est clair que cet impact existe, comme l’ont confirmé de nombreux laboratoires, qui sont de plus en plus nombreux à rechercher des détails mécaniques. Emoto nous manque, mais nous chérissons les contributions pionnières que ce grand chef spirituel a apportées au monde, en particulier le défi implicite lancé aux scientifiques pour comprendre la base mécaniste de ces messages sur l’eau ».
Professeur Gerald Pollack (waterconf.org)
